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Mercredi 4 juillet 2012 à 16:08

La chasse aux poils pour l’été! Il faut éliminer de près les duvets que ce soit sur les jambes, sur les aisselles et  « autour du maillot ». Donnez toute l’importance qu’ils valent à vos soins pré et post-épilation afin d’éviter d’avoir la peau rouge et irritée.

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La peau doit être préparée

Les soins pré-épilation doivent être réalisés la veille de cette dernière. Pour commencer, faites un gommage complet de la zone que vous allez épiler de manière à ne pas irriter votre peau. Pour ce faire, choisissez le produit de gommage adapté le mieux à la partie du corps concernée. Les gros grains seront appropriés aux jambes. Quant aux aisselles et au maillot, les gels de gommage doux et légèrement exfoliants feront l’affaire. De ce fait, cette pratique élimine les peaux mortes, et facilite l’épilation à la cire. Ainsi, il y a moins de risque d’apparition des poils incarnés à la fois disgracieux et douloureux.

De plus, vous pouvez fabriquer vous-même votre propre exfoliant avec cette recette faite maison : une cuillère à café de miel, une demi-cuillère à café de farine de maïs et un peu d’eau. Après, n’hésitez pas à masser légèrement et délicatement les parties du corps à épiler avec un lait ou une crème hydratante. Ce geste permet de vous détendre et assouplir votre peau.

Utiliser une crème apaisante après arrachage

Suite à la réalisation de l’épilation, à la cire ou à la crème dépilatoire, l’arrachage des poils reste en effet une agression pour l’épiderme.  Donc, optez pour une crème apaisante et légère telle que le produit à base d’Aloe vera pour calmer les éventuelles démangeaisons et les irritations. D’autre part, l’huile d’Argan protégera votre peau du dessèchement. La pierre d’alun a également des propriétés adoucissantes. Évitez si possible les cosmétiques à base d’alcool. 

Jeudi 22 mars 2012 à 19:20

 Les chercheurs américains prouvent la toxicité de la fumée du tabac qui est aggravée par la nocivité des additifs. Les différentes sortes d’additifs qui ont été ajoutés au tabac, ne sont pas citées sur les produits commercialisés alors qu’ils constituent environ 10 % du poids des cigarettes. Stanton A. Glantz l'Université de Californie mène l'étude  avec une équipe d'experts et montre que ces produits intensifient visiblement la toxicité de la fumée du tabac. Même  les fabricants ont reconnu le fait.

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Comme preuve, les chercheurs ont récupéré d'anciennes analyses du fabricant de cigarettes Philip Morris. Discrètement, cet industriel avait racheté un laboratoire allemand, Inbifo, pour étudier l'effet des additifs de ses cigarettes. En 2002, l’étude a permis de publier quatre articles dans une revue obtenue à l'industriel où les auteurs déclaraient n'avoir vu «aucun effet significatif de ces ingrédients sur la toxicité des cigarettes.»

Dix ans après, les chercheurs aperçoivent que Philip Morris avait fait une fausse interprétation concernant les mesures de produits chimiques présents dans la fumée des cigarettes afin de cacher toute augmentation de toxicité. Une tout autre réalité est découverte : les additifs entrainent une hausse de plus de 20 % de produits cancérigènes, ce qui augmenter la vitesse d'absorption de la nicotine par l'organisme. Les chercheurs soulignent que British American Tobacco, un autre fabricant majeur de cigarettes, n’a pas aussi donné d’importance à la toxicité de la fumée de ses cigarettes.

174 pays approuvent la convention

Aussitôt, la Convention cadre pour la lutte antitabac de l'OMS prévoit la mise en place de la réglementation pour les centaines d'additifs au tabac qui a été précipité par cette déclaration ajoutée. 174 pays ont approuvé cette réglementation. Également, cette loi prévoit de réglementer tous les ingrédients toxiques pour chaque marque de cigarette. Emmanuelle Beguinot, directrice du Comité national contre le tabagisme (CNCT) n’étant pas encore satisfait disait : «Tant qu'une liste des seuls ingrédients autorisés ne sera pas produite, toutes les mesures sur la composition des cigarettes pourront être contournées à l'insu des autorités et des fumeurs.»

Vendredi 2 mars 2012 à 13:13

 Une personne sur deux a peur d’une consultation chez le dentiste à cause de la douleur. Alors que, de nos jours, les soins sont largement plus "confortables". À ce propos, les conseils de nos spécialistes vont vous guider.

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1. Faites le bon choix de dentiste!

Choisissez un bon praticien. Il doit faire comprendre à son patient tout ce qu'il se passe, à chaque étape, avec des mots simples. Certaines précautions peuvent également être prises pour vous rassurer comme l’écoute de la musique douce ou la diffusion les soins sur écran.

2. Optez pour les médecines douces antistress

- En homéopathie, Ignatia 9 CH est recommandé. Pendant le soin, en cas d’angoisse forte, un granule de Nux vomica 7 CH et 2 granules de Gelsemium 4 CH.

- En phytothérapie, Euphytose® est efficace ainsi que certaines huiles essentielles comme la lavande ou le jasmin pour apaiser.

- Lorsque la peur tourne à la phobie, les thérapies comportementales et cognitives sont intéressantes. Dix à quinze séances avant d’aller chez le dentiste permettent aux patients de se déconditionner et enlever leurs peurs.

3. Seriez-vous plus apaisé sous hypnose ?

Avant le début des soins, certains dentistes qui ont poursuivi une formation spécifique proposent une séance d’hypnose. La technique consiste à se détendre. L’hypnose a un bon effet pour faire disparaitre l’angoisse.

4. L’anesthésie générale serait-elle une solution ?

Une anesthésie peut être envisagée au cours d’une intervention complexe et le soin des dents très abîmées. L’intérêt est de pouvoir réaliser d’un coup tous les soins réputés douloureux surtout les extractions de dents.

Et pour être mieux remboursé, choisissez une mutuelle dentaire.

Mercredi 8 février 2012 à 8:59

 Une étude effectuée par des chercheurs australiens a révélé que le thé noir, pris de manière régulière, diminuerait la pression artérielle. Cette découverte est une aubaine pour les personnes hypertendues, car trois tasses quotidiennes de thé noir conduiront à terme à une diminution significative de la tension artérielle.

 

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Test de l’efficacité du thé noir sur les hypertendus

La recherche australienne parue dans le journal Archives of Internal Medecine inclue un test sur 95 individus, approximativement du même âge et poids, dont la tension artérielle varie de normale à élevée. Durant un semestre, un premier groupe de ces individus ont bu trois tasses de thé noir par jour et l’autre groupe a pris une substance neutre appelée placébo, qui imite le goût et l’aspect du thé. La pression systolique des volontaires se trouvaient entre 115 et 150 mmHg (millimètres de mercure), au début du test. A savoir que pour une personne saine, cette pression devrait varier entre 80 et 120 mmHg. A l’issu des six mois d’expérience, les individus du groupe ayant pris du thé noir ont vu leur tension baisser de quelques points. Une telle efficacité aidera à réduire la portée des maladies cardiovasculaires.

 

L’action du thé noir sur l’organisme

Les composantes du thé noir favorisent en effet la protection et la santé des cellules dites endothéliales qui tapissent l’intérieur des vaisseaux sanguins. Grâce aux actions du thé noir, l’endothélium agit positivement sur l’équilibre de la circulation du sang,    tandis que l’endommagement de l’endothélium est la première cause des troubles de la pression artérielle. Outre la diminution de la tension artérielle, le thé noir est également un excellent antioxydant qui permet de conserver jeunesse et santé. Ces autres vertus sont également la réhydratation, la lutte contre la rétention d’eau, la prévention du diabète, etc. De plus, la plupart de ces propriétés ne se retrouvent que sur le thé noir et non le vert. 

Vendredi 21 octobre 2011 à 12:18

Même si les chirurgiens-dentistes sont obligés de révéler à chaque individu le prix d’achat et même la provenance des prothèses dentaires  en respectant la loi Hôpital, patients, santé et territoires (HPST); un dentiste sur quatre seulement joue cependant la transparence (étude IFOP). En effet, il est souvent  préférable d’avoir certaines notions sur les prothèses dentaires, pour ne pas s’étonner et être déçus par les remboursements proposés de part et d’autre.
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A combien les prothèses dentaires seront remboursées par la sécurité sociale ?
 
Tout d’abord, il est mieux de rappeler que la sécurité sociale ou encore l’Assurance maladie rembourse sur la base de tarifs conventionnels fixés à l’avance pour chaque soin et acte de santé. Certes, il faudra avant tout que votre prothèse dentaire apparaisse sur la liste des prestations  et produits « acceptés » par la sécurité sociale, afin que vous ayez la possibilité de bénéficier d’un remboursement dentaire. Sinon, le plafond de remboursement d’une prothèse est à 70% sur la base desdits tarifs conventionnels, ainsi fixés pour chaque type de prothèse.
D’une manière plus concrète, ces tarifs vont de 107,50 euros à 279150 euros, bien que les Français utilisent d’habitude la couronne à 107,50 euros. Pour cette dernière, l’Assurance maladie prendra donc en charge 75,25 euros, et le reste (les 30%) sera à la charge de l’assuré ou de sa mutuelle. Ainsi dit, il faut également reconnaitre que les professionnels de santé pratiquent des tarifs réels à honoraires libres, et l’écart avec les tarifs conventionnels est toujours de 5 à 10 fois. Ce qui rend assez ridicule un remboursement à 100% des tarifs conventionnels.
 
Voyons de cas d’une mutuelle dentaire
 
Du côté de la mutuelle dentaire, son remboursement qui est basé sur ces tarifs conventionnels peut aller jusqu’à 500% de pourcentage. Ce qui limitera ainsi de manière considérable le reste à votre charge. De cette façon, vous pourriez être remboursé en entier, si les tarifs réels sont moins chers. De plus, une mutuelle dentaire concentre ses remboursements élevés uniquement sur le poste dentaire. Ce qui aura d’ailleurs une grande influence sur la cotisation à payer, qui en sera bien plus accessible au lieu de choisir mutuelle haut de gamme.

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